C’est dans le contexte de la montée des fascismes des années 1920-30, du front antifasciste puis du front populaire, des accords de Munich, du déclenchement de la seconde guerre mondiale, de la défaite et de l’occupation de la France, que les résistances vont émerger et cheminer individuellement puis par petits groupes.
Après sa presse, le PCF est interdit en septembre 1939, pourchassé, ses élus déchus. Malgré le trouble du « pacte de non-agression », il appelle à « l’union de la nation française contre l’agresseur hitlérien ».